3 juillet 2009
Polichinelle
de Pierric Bailly
Roman
Polichinelle a été primé.
On aime ou on aime pas.
Il faut du temps pour rentrer dedans.
Au final j'ai bien aimé, moi peut-être que Monsieur qui a adoré.
La fin laisse.... sur sa faim je trouve. Bâclée?
Cette fois je me contenterais de vous mettre le dos du livre:
"Des corps débiles, langues bien pendues, traits tirés, l'été jurassien, de nos jours, campagne française qui lorgne sur tout ce qui bouge de l'autre côté de l'Atlantique, qui saute sur la première occasion de se donner des coups, qui se dépêche de tout casser, de tout gâcher, au cas où il y aurait quelque chose à en tirer."
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